vendredi 23 juillet 2010

Elle était là

Elle était là, près de la rivière

Les papillons la poursuivent

Les fleurs la décrivent

L’eau ameute toutes les pierres

Elle était là, près de la rivière

La lune éblouie

La terre réjouie

Le soleil se met à la prière

Elle était là, près de la rivière

Les landes se fardent

Les gazelles se baladent

L’ablette lorgne sa lumière

Elle était là, près de la rivière

Le mont sourit

Le brouillard disparu

La reine côtoie l’ouvrière

Elle était là, près de la rivière

Sous un arbre, je me suis trouvé

Cogné, étonné, ému, et enfin couvé

Est-elle un ange, ou sorcière

Elle était là, près de la rivière

Je suis l’air que tu cherchait humer

dit-elle

Je suis l’amour que tu voulait semer

Je suis l’âme que tu souhaitait aimer

Je suis ta vie, ton destin, ta demeure

Je suis là, tout près de ton cœur

Je suis là, près de la rivière

dimanche 18 juillet 2010

Quitte mon ciel

Tu as quitté sans au moins me dire bonjour

Tu m’as laissé esclave des fantômes qui m’entourent

J’attendais ce jour là, comme si j’étais un bébé qui voit le jour

Comme si j’étais un enfant qui prends- dans un jeu- son tour

Tu m’as quitté, en toute indifférence et sans retour

Hélas !tes sentiments ont changé d’adresse

Ton silence,et terrible détour, et m'a fait sentir des tristesses

quitte mon ciel, si cela te plait, je chercherai une autre richesse

samedi 17 juillet 2010

lundi 12 juillet 2010

Sois fidèle

Attends ! Ne dis rien, sois avant fidèle à ton cœur

Sois fidèle à tes sentiments, sois logique et sans pudeur

Pense à moi qui t’ai aimé sans prudence

Qui t’ai gravé dans son cœur en toute élégance

Je te dis, quelque soit ta réponse :

« Je suis las, et là, je te porterai un respect immense

Je t’enverrai des feuilles roses ; où j’écrivais notre histoire

Je te transmettrai des ondes parfumées de mes espoirs

Je vais aimer la couleur rose que tu préfères

Je dormirai les nuits regardant l’astre du désert

J’effacerai les couleurs de l’arc-en-ciel

Je déchirai toutes les images ; tel

Un enfant brisé qui perd son paternel

Je m’évaderai de l’amour qui me te rappelle

Je cesserai d’écrire des poèmes d’autel

jeudi 8 juillet 2010

y arriver

Dès l’aube, je cherche tes rayons
Tes sourcils et tes yeux brillants
À l’horizon je guette ta beauté
Puis- je arrive être à tes côtés !
Réponds-moi le cœur brule
À haute voix, le coeur hurle
Tu dirais de moi : " c’est un enfant "mesquine" "
Je te dis : " La loi de l’amour est divine"

samedi 3 juillet 2010

Etat

Mon cœur bat en me disant : " cueille la fleur
Alloue-moi du repos, de la vie et du bonheur
Nage-toi les yeux dans sa beauté angélique
Ébats-toi dans des rives ; belles et romantiques
Livre-moi de la tendresse et regarde le ciel
Devant ma fleur ; la lune s’égoutte du miel"
Ébloui par son éclat, je contemple le regain
Ma douce et belle fée, trace moi le chemin
À l’onde parfumée des entendements et d’espoirs
Hardi, je t’invite à écouter notre plus belle histoire
Offre-moi mon cœur qui frissonne et s’enflamme
Ma trouvaille dresse mon esprit et repose l’âme