dimanche 26 avril 2009

La réponse

Au nom d’Allah, le Tout Puissant et le Très Miséricordieux

Nous, grande famille des enseignants, ayant connu première parution de la revue « Elminbar etarbaoui » qui s’intéresse aux nouveautés concernant le champ éducatif au niveau de la Wilaya de Naâma.

Avons très bien applaudi cette initiative, et fait valoir le geste constructif opté par la direction d’éducation, toutefois et malheureusement l’interview que la revue a faite avec M me directrice de l’école primaire Slimani dine a apostrophé ! En effet celle-ci, et sans scrupule et venue accuser une

large catégorie de jeunes professeurs, issus de l’université algérienne indexés d’incompétence, déclare cette directrice, et va jusqu’à s’en moquer sottement de ces jeunes, présumant évaluer la situation, elle accuse sans jugement et entre les lignes ceux qui les employés.

Les questions qui se posent maintenant ; pourquoi ces déclarations fortuites ? Et à quoi servent-elles ?

A cet effet, nous nous posons légitiment tant d’interrogations et dont nous citons que quelques unes.

Au premier heurt de la lecture de l’interview, l’on peut comprendre la cagoule qui se veut, sans référence officielle universitaire, faire le pédagogue, littéraire, critique ! Ayant perdu dévouement et respect aux hommes de l’éducation. Elle alla les critiquer sévèrement. Et oubliant son hier comblé de tortures à l’encontre de frères et père… elle présume aujourd’hui capable d’exercer son expérience indésirable.

Une expérience dont les fruits ont fait des dizaines de victimes, allant de la déperdition scolaire jusqu’aux victimes psychosomatique. Le silence tenu pendant plus de quatre décennies des parents et des enseignants, à l’encontre de cette « directrice » n’était que respect à l’enseignement en général. Mais voilà venu le temps.
Achouri Mohammed

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